L’endométriose, les fibromes, les ovaires polykystiques, la ménopause précoce, nous savons aujourd’hui qu’ils ont une base génétique. Ils sont plus fréquents chez les femmes qui sont apparentées, mais les causes ne sont pas uniquement génétiques. Ce sont des maladies multifactorielles pour lesquelles, outre les gènes, l’environnement et notre mode de vie jouent un rôle essentiel. Ce qui est hérité, c’est la prédisposition, une chance accrue, sans que cela signifie que parce que votre mère souffre d’endométriose, vous la développerez aussi. La connaissance et la recherche correcte des antécédents familiaux, permet la bonne gestion de la charge génétique visant à la fertilité.
À Embryolab, Glykeria Samolada, conseillère en génétique, accréditée par le Conseil Européen de Génétique Médicale (EBMG), propose des conseil génétiques sur rendez-vous.